Ivre et mélancolique elle regarde les étoiles
Ivre et mélancolique elle regarde les étoiles comme pour se souvenir que la VODKA et le WISKY l'aident à tenir. Comme pour se dire "Quitte à mourir, autant mourir pour toi..."
Ivre et mélancolique elle regarde les étoiles comme pour se souvenir que la VODKA et le WISKY l'aident à tenir. Comme pour se dire "Quitte à mourir, autant mourir pour toi..."
Mon amour, quand je pense à toi je ne suis plus tout à fait celle que je suis. Car, Mon amour, quand je pense à oti je redeviens cette petite fille innonente et naïve que j'étais autrefois... Mon amour dis moi que u penses à moi de temps en temps même si ce n'est plus aussi souvent qu'il était une fois... Mon amour dis moi que tu seras toujours là pour moi, comme tu me l'as dit, promis, juré. Mon amour, j'espère, que toi, tu ne m'as pas menti...
Coeur qui soupire n'a pas ce qu'il désire. Et elle passe son temps à soupirer. Elle ne fait que ça. Je veux dire, toute la journée. C'est à ne pas y croire. L'éternelle insatisfaite. C'est à ne plus dormir. Quel drôle d'idée. Je veux dire, quel drôle d'invention. Que le coupable se dennonce. Je veux dire, la femme. Je veux dire, la peste.
Si un jour on me demandait qui est mon modèle dans la vie, c'est sans hésiter que je répondrais : "Ma maman". C'est à elle que je dois tout, c'est la seule qui n'ait jamais cessé de me tenir la main, de croire en moi, de me guider vers le meilleur chemin possible. Et si l'on me demandait ce que je regrette le plus dans la vie, je répondrais : "Toutes les fois où je lui ai fais de la peine, où je l'ai déçue et où je l'ai mise en colère, et ce même sans le vouloir". J'aimerais lui dire, à ma maman, que personne sur Terre n'a plus d'importance qu'elle. Sans elle, j'aurais certainement fait un tas d'erreurs irréparables, j'aurais manqué d'amour, de repères, je n'aurais pas su sur qui m'appuyer lorsque tout allait de travers, je n'aurais pas eu la certitude que quelqu'un m'aimerait quoi que je fasse, sans conditions. Oui, parce qu'une maman c'est avant tout une montagne d'amour. Elle t'aime malade, petit, grand, différent, de mauvaise humeur, en prison, quand tu te trompes, défiguré... Tout le temps. Chaque geste, chaque mot, chaque acte que fait une mère ne repose que sur de l'amour et a pour unique but notre bonheur, même si on ne le voit pas toujours. Alors merci maman, d'être celle que tu es, de m'avoir épaulé et soutenue dans chaque moment de mon existence, merci d'avoir pardonné chacune de mes erreurs et bêtises, de m'avoir appris les valeurs fondamentales de la vie, merci d'avoir été un merveilleux exemple.
L'un des aspects les plus étranges de la vie est qu'elle continue à tracer sa route, sans se soucier que votre monde à vous subisse des transformations, des déformations, voire qu'il soit en train d'exploser. Un jour, vous avez des repères, une voie. Le lendemain, vous êtes perdu. Et malgré tout, le soleil continue à se lever, les nuages à s'amonceler et à passer dans le ciel, les gens à faire leurs courses, les chasses d'eau à se vider et se remplir, et les stores à monter et descendre. Ainsi, vous comprenez que, pour l'essentiel, la vie, la mécanique implacable de l'existence ne vous concerne pas une seule seconde. Elle poursuivra sur sa lancée, bien après que vous aurez sauté dans le vide. Bien après que vous serez mort.
Quant à moi, ni guéri ni désintoxiqué, j'étais victime de la même attraction.C'était si douloureux de le revoir. En me quittant, il avait emporté tout ce qu'il y avait de solaire en moi : mes espérances, ma confiance, ma foi en l'avenir. Il avait asséché mon existence la vidant de ses rires et ses couleurs. Il avait surtout étouffé mon coeur, lui enlevant toute possibilité d'aimer à nouveau. A présent, ma vie intérieure ressemblait à une terre brulée, sans arbre et sans oiseau, à jamais figée dans le froid de Décembre. Je n'avais ni appétit ni envie, hormis celle de me cramer quotidiennement les neurones à coup de médicaments pour diluer des souvenirs trop difficiles à affronter.
J'me sens mal. Terriblement mal. Une sensation de Dégout mais aussi de Déjà-vu. J'ai mal au ventre. J'ai pas très faim. J'ai sommeil. Trop sommeil. J'suis triste pour pas grand chose. J'attend qu'la journée se passe, qu'elle défile. J'rets là et rien. Rien qui m'vienne. La douleur au dedans de moi ?? Jamais ressentie !! Et cette peur monstre ?? Non plus !! J'arrive pas. J'arrive plus. Depuis un moment déjà. J'arrive plus. A écrire. Avant c'était simple. Mais aujourd'hui c'est dur. ERK. Comment l'dire ... J'en sais rien ! J'tourne en rond. La preuve. Regarde ce texte. Ce texte-ci qui m'fait honte. Que j'écris. Qui se décline sous mes doights vernis de rouge tapant sur l'clavier. J'en reviens pas d'écrire ça. Là. Comme-ca. D'avoir rien qui m'vienne. Là. Tout de suite. J'aime pas cette sensation. Le pire c'est que j'ai passé une journée à chier. Tellement que j'ai rien à dire dessus. La page blanche me guette. J'le sais. J'la sens cette TEPU. Elle veut m'virer d'un coup d'un seul. Parcequ'elle trouve qu'habituellement j'les remplis trop vite ces putain d'feuilles. Parcequ'elle dit que j'ai pas l'droit. Pas l'droit d'écrire la vérité. La vraie. La dure. La noire. Elle dit qu'c'est Injuste parcequ'elle elle y arrive pas à écrire comme ça... Elle se trompe car aujourd'hui, à ça, j'y arrive pas.
Je cours à ma perte. Je n'ai besoin de personne pour me détruire je le fais toute seule. Je ruine tout ce que je possède et en particulier ceux que j'ai autour de moi. Je ne suis pas une bonne amie. Je suis même la pire amie que quelqu'un puisse avoir. Je me sens seule. Seule à mourir. Je n'ai plus faim. Je n'ai plus soif. Je ne veux plus sourire pour rien. Je suis juste vidée de tout sentiment mis à part la tritesse qui emplit mon âme en ce jour. La douceur de l'amitié étant absente. Je ne sais pas encore pour combien de temps, mais je ne veux pas refaire les mêmes erreurs qu'avant. J'ai l'horrible sensation qu'avec moi elle est malheureuse. Ma belle mais triste hirondelle.
L'amour doit être
passionnel,
inconditionnel,
fusionnel
et jaloux.
Quitte à durer peu.
You bring me daydreams
you bring me nightmares